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RTA asbl : Choix et repères institutionnels

1. Objet

Dans notre interprétation de l'analyse institutionnelle, le rôle innovant et mobilisateur d'une institution ne se termine pas nécessairement avec sa phase de création et de première croissance.
L'institution peut en effet rester créatrice si elle réunit les conditions d'une dynamique instituée effective, à savoir si elle fait preuve d'une fidélité créatrice à ses orientations fondatrices, si elle reste authentique dans ses engagements, si elle construit les conditions d'une appartenance à ses choix et à ses luttes.

Le présent document entend formaliser les principales composantes sur lesquelles ce travail d'institution peut s'appuyer dans notre association. Il ne s'agit somme toute ici que d'organiser et d'expliciter ce qui a fait l'objet de nombreux débats et séminaires internes et qui fonde nos pratiques.

2. Les principaux éléments fondateurs

RTA a été créé en 1973 par les mouvements ouvriers namurois, qui composent aujourd'hui encore les instances à parts égales. Cette création s'est appuyée dès le début sur des composantes fortes.

On peut en épingler au moins trois.

Un pluralisme situé, clairement orienté par une vision progressiste, appuyée sur les luttes des mouvements ouvriers. Ce pluralisme progressiste accorde une importance centrale aux dynamiques collectives de mobilisation, aux pratiques de résistance culturelle (émancipation par la formation et l'éducation), à la construction de savoirs bâtis dans l'expérience.

Les luttes pour l'égalité et la solidarité ont fort logiquement toujours orienté les choix institutionnels.

L'illustration et la défense del'authenticité1 ont conduit les fondateurs de RTA à promouvoir la démocratie culturelle, à savoir la lutte visant à permettre aux groupes sociaux d'avoir accès à la création et à l'expression de leur propre culture (mouvement des médias libres, animation des quartiers populaires par exemple).

Ces composantes, qui ont inspiré les mouvements émancipatoires de formation des adultes constituent pour nous l'esprit même de l'éducation permanente. Cet esprit est le fondement de toutes nos actions (et pas seulement de celles qui ressortissent au décret de l'éducation permanente).

Ces composantes ont toujours été activées en s'adaptant aux évolutions de l'environnement, notamment l'importance de plus en plus grande accordée au capital culturel (capital qui comprend des connaissances, une capacité de création, la mise en oeuvre de ressources subjectives comme la capacité à inspirer la confiance, à s'engager, etc.).
Cette importance grandissante a pesé plus fortement sur les moins favorisés et elle s'est marquée tant dans les lieux de production de ce capital (cursus de formation, mais aussi vie dans les quartiers et surtout champ médiatique) que dans ses modes d'utilisation (dans le monde du travail, dans les activités « culturelles », etc.)

3. Les impacts des choix fondateurs sur le travail de/dans l'association

On peut décliner ces impacts dans trois domaines : les combats de l'association, les accents singuliers que ceux-ci entraînent dans le travail spécifique des différents départements, les correspondances entre les engagements « externes » de l'association et l'organisation du travail à l'interne.

Les principaux combats de l'association

L'association n'est pas un simple fournisseur de services qui seraient indifférents ou seraient proposés au plus offrant.
Elle tente de s'engager dans des actions, de s'allier avec des partenaires, de soutenir ou d'initier des projets qui répondent aux orientations suivantes.

a) Le combat pour les droits du Sujet

Alain Touraine a bien montré que le conflit central dans nos sociétés porte sur le droit des individus et des groupes à être « des sujets »2.
On évoque par là une face défensive (le sujet résiste aux grandes stratégies qui le réduisent au statut de pion, manipulent ses désirs, nient son existence) et une face offensive : le droit pour chacun et pour chaque groupe d'être les créateurs de leur propre existence, compte tenu du fait que revendiquer ces droits n'a de sens que s'ils sont revendiqués pour tous.

Ce conflit s'incarne dans les enjeux qui touchent à la production des ressources (connaissances, capacité à créer, ressources subjectives comme la confiance, l'image...) comme à leur utilisation.

Trois accents sont pris en compte par l'association :

  • l'autonomie dans la production du capital culturel (ce capital ne peut être marchandisé ni instrumentalisé);
  • la dimension collective des droits culturels (bien exprimée par le concept de « groupe sujet » de F. Guattari, soit un groupe qui essaie de n'être assujetti ni à une loi externe ni à sa propre loi interne, ce qui implique pour le groupe un important « travail sur soi ») ;
  • les connexions entre les lieux différents (monde du travail, de la formation, de la création artistique...).

b) L'articulation des luttes culturelles et des luttes sociales

Les luttes culturelles ne sont pas concernées que par des enjeux de liberté ou d'authenticité. La dimension d'égalité y est aussi prégnante.
Nous souhaitons ainsi pouvoir repérer symétriquement l'importance nouvelle de la donne culturelle dans les conflits sociaux et la permanence des enjeux d'égalité dans les luttes culturelles. C'est particulièrement vrai dans les conflits du travail, où le capital culturel produit par le collectif des travailleurs peut par exemple être exploité par les propriétaires des capitaux ou dénié par des stratégies individualistes3.

c) Les « nouveaux » mouvements sociaux

La question des mouvements sociaux fait l'objet d'une forte controverse dans nos sociétés. Pour certains, ils font partie du passé ; pour d'autres, les mouvements culturels les ont remplacés ; pour d'autre encore, ils n'ont jamais été autant d'actualité.

Notre position dans cette controverse est qu'un mouvement social digne de ce nom réunira, s'il existe et veut réellement peser sur les choix de société, les organismes de mobilisation, les associations mobilisées et les producteurs de capital culturel4.

En conséquence, oeuvrer au rapprochement de ces protagonistes est fondamental.

d) La spécificité de l'action associative

Pour nous, la mobilisation associative est une composante forte de la vie démocratique. Elle ne l'est jamais davantage que lorsqu'elle est articulée de façon pertinente aux actions des pouvoirs publics. Cette pertinence implique que l'autonomie critique des associations soit préservée et que les services publics fondamentaux ne soient pas privatisés, même de façon larvée.
Il importe donc que la culture des services publics et la culture associative puissent s'articuler de façon cohérente et que chacun des deux mondes puisse résister à l'invasion d'un néo-management issu du secteur privé marchand, qui se prétend la seule voie de progrès et la seule référence légitime5.

e) La double face des institutions

Pour l'analyse institutionnelle des années soixante, les institutions étaient d'office suspectées d'être le théâtre d'un pouvoir excessif, notamment parce qu'elles étaient accusées d'être le relais idéologique de l'Etat bourgeois.

Nous avons pu montrer que ce que certaines institutions pouvaient faire subir à leurs bénéficiaires (en un mot, la destruction de leur autonomie culturelle), elles pouvaient le subir elles-mêmes désormais dans une société qui tend à démanteler toutes les logiques collectives.

Sans perdre la vigilance bien nécessaire qui conduit à identifier les excès de pouvoir qui peuvent se produire dans tous les collectifs, nous appelons à identifier le rôle de résistance et de contre-pouvoir que les institutions ou associations peuvent endosser.

Dans nos interventions institutionnelles, nous avons à prendre en compte cette double face possible, ce qui conduit à articuler la vigilance critique et le soutien aux actions.
En particulier, il importe de ne pas céder à la tentation de traquer dans toute ligne hiérarchique un abus supposé avéré (l'absence de contrôle, une ligne hiérarchique brouillée produisent souvent bien plus d'abus, comme les rapports d'influence camouflés ou les pratiques de manipulation entre pairs) et de ne pas se contenter d'observer « au balcon » les manques ou insuffisances des autres.

f) Les nouvelles formes de mobilisation

Nous accordons beaucoup d'importance à la compréhension et au soutien des nouvelles formes de mobilisation, parmi lesquelles nous pouvons citer :

  • les pratiques de transversalité créatrice mises en lumière par F. Guattari ;
  • l'émergence de réseaux où des acteurs à intérêts éventuellement divergents arrivent à « lier leur sort » ;
  • les expériences de démocratie « dialogique », qui interrogent l'expertise construite dans l'expérience par les personnes concernées par une situation6.

g) Les formes de participation effective

La participation semble promue partout et par tous, mais elle n'est pas nécessairement pertinente. Elle peut être seulement cosmétique, reposer sur une « stigmatisation positive » (on accorde une importance démesurée (dans le discours en tout cas) aux propositions de personnes ou de groupes stigmatisés, en abaissant son seuil d'exigence – souvent de façon hypocrite d'ailleurs), ou provoquer une incohérence institutionnelle.
Si la participation doit être effective, elle doit répondre à un certain nombre d'exigences (tenir compte du degré d'ouverture réelle du débat, reposer sur un engagement réciproque suffisant, réunir les conditions d'un réel recul réflexif et critique par exemple)7.

Les accents particuliers département par département

a) Dans le département vidéo/multimédias

Il s'agit fondamentalement de continuer à incarner une alternative dans un champ qui tend de plus en plus à l'homogénéisation, comme dans le mouvement des médias libres.

Pour qu'une telle alternative soit crédible, il faut que ses productions aient un niveau formel à la hauteur des exigences du champ médiatique, mais en même temps ces productions doivent se donner les libertés nécessaires par rapport aux règles de fonctionnement dominantes : décloisonner les métiers, expérimenter de manière créative, prendre en compte l'avis des personnes concernées par la production, accepter de modifier celle-ci dans une discussion partenariale, prendre le temps de la relation et de la compréhension en profondeur).

Un des vecteurs est notamment la participation effective des publics et des collectifs (comme dans l'expérience de rédaction participative).

Un autre aspect concerne l'accessibilité, ce qui ne veut pas dire « viser au plus bas » ; il s'agit souvent au contraire de maintenir un niveau élevé d'exigence, tout en fournissant des voies d'accès progressives (c'est le concept des « dossiers » d'Intermag).

L'accessibilité est aussi technique ; elle passe par un effort d'information des partenaires et s'incarne aussi dans les choix techniques : la réception des productions doit être possible sans qu'il soit nécessaire de posséder des solutions techniques haut de gamme.

En matière de contenu, sont privilégiés évidemment les thèmes qui correspondent aux combats énoncés ci-dessus.
En matière de forme, le rejet du sensationnalisme ou de l'instrumentalisation s'impose8.

b) Dans le département insertion

L'investissement dans ce département correspond au souci de permettre au plus grand nombre d'avoir accès aux métiers de la société de l'information.
Oeuvrer à la déstigmatisation en faisant un pari sur le possible constitue la priorité.
Ce choix s'exprime dès la procédure de sélection ; une attention particulière est portée au fait de donner leur chance à des personnes qui ne présentent pas toutes les garanties de réussite, ou à des personnes que les a priori, les stéréotypes (comme celui de « métier masculin ») ou les représentations tendraient à écarter.

Il est donné une grande importance à la dynamique collective et solidaire dans l'apprentissage. L'ambition est que le groupe des stagiaires   fonctionne comme un « groupe-sujet », c'est-à-dire qu'il ne trouve pas son unité contre une minorité de plus faibles, qu'il ne s'abandonne pas aux tentations de la concurrence interne,  qu'il trouve les voies de sa propre créativité et solidarité.

Les choix de l'association conduisent à être attentifs à ne pas supposer acquis ce qui est précisément à acquérir.

Un dispositif de participation des stagiaires est d'office mis sur pied.

En matière de contenu, nous privilégions une conception du métier qui accorde sa juste place au traitement journalistique et nous essayons d'armer les stagiaires pour qu'ils puissent avoir un recul critique suffisant sur les productions du camp médiatique et sur les leurs.

c) Dans le département formation/recherche

L'analyse institutionnelle « recomposée » est la référence centrale9.

Celle-ci est d'abord une pratique. Elle oriente les attitudes et comportements non seulement en matière de supervision, mais aussi en termes de formation d'adultes.
Les postulats d'une science sociale pragmatique, tels que définis par P. Goodman, y sont activés (notre reconnaissance dans le secteur de l'aide à la jeunesse s'est faite sur base de ces postulats de manière explicite) :

  1. Le fait même que le problème soit étudié constitue un facteur de la situation. L’expérimentateur est un des participants à l’expérience, et cela déplace déjà le problème, en l’objectivant de façon utile. /
  2. L’expérimentateur ne peut savoir exactement ce qu’il cherche, il n’y a pas d’hypothèse préétablie à démontrer, car il espère qu’une solution imprévue sortira du rapport dialectique avec le problème.(…). /
  3. L’expérimentateur, comme les autres participants, est “ engagé ” ; il éprouve un besoin moral de parvenir à une solution, et par conséquent il est disposé à modifier ses propres conceptions et jusqu’à son propre caractère. (…).
  4. Dès lors qu’il ne connaît pas l’issue, l’expérimentateur doit prendre le risque de la confusion et du conflit et mettre à l’épreuve des moyens inéprouvés. L’unique sauvegarde est de rester en contact étroit avec la situation concrète, d’être objectif et exact dans la façon d’observer et de rapporter les faits, et de se montrer rigoureux dans l’analyse.

La posture de l'analyse institutionnelle  implique à la fois une critique des nouvelles formes de domination (elles sont plutôt culturelles ; elles passent par de la séduction, de la manipulation et de l'intégration plus que par la traditionnelle répression) et un soutien aux expérimentations et résistances.

Le département veille à prendre la mesure du « renversement des fronts » qui affecte la critique : le pouvoir s'exerce désormais par le mouvement plus que par l'ordre et il pollue tous les thèmes de la critique (en faisant de la liberté individuelle un « droit » consumériste qui équivaut à la négation des droits du Sujet ; en faisant de l'épanouissement individuel un thème de séduction et de manipulation, en présentant les conquêtes sociales comme des rigidités ou des enjeux dépassés, etc.)10.

Le travail du département ne s'inscrit pas dans une « école » et encore moins une guerre d'écoles. Son capital collectif, construit au fil des ans, se trouve plutôt dans les croisements entre des travaux que d'aucuns jugeraient peut-être incompatibles ; les références centrales sont

  • la critique de la stigmatisation et la critique de l'institution totale (Goffman) ;
  • la critique de la domination dans ses dimensions visibles et invisibles (Bourdieu) ;
  • la critique du néo-management et le bilan critique de mai 68 (Le Goff) ;
  • la distinction des types de démocratie et le rôle des réseaux de connexion dans l'innovation (Callon) ;
  • le concept de transversalité et d'institution (Guattari) ;
  • le concept d'historicité et de droits du Sujet (Touraine) ;
  • le concept de « droits territoriaux » (Goffman) ;
  • le lien entre politique et action (Bourdieu) ;
  • les conflits de « mondes » (Boltanski) ;

Le département ne produit pas à ce sujet un travail « académique » ; il se met plutôt au service des acteurs en leur fournissant des modèles opératoires, construits sur le terrain, qui leur permettent de se décaler et de reprendre de l'emprise sur leur propre situation11.

Une attention particulière est portée à éviter le centrisme de classe et l'« academica mediocritas » (par ce terme, P. Bourdieu désigne la participation du travail académique à la domination par la diffusion d'un schème de pensée (de « juste milieu ») qui la sert ou par un manque d'attitude critique par rapport au travail académique lui-même).

d) Dans le département administratif

Le département administratif n'est pas considéré seulement comme un opérateur technique, même si les tâches qu'il doit effectuer sont de plus en plus complexes eu égard à la pluralité de nos agréments, aux exigences pas nécessairement compatibles.

Le département participe de fait de manière très fine au travail des autres, il en connaît et partage le sens, il est en relation avec leurs partenaires. Il suit les mêmes règles de déontologie : confidentialité par rapport aux stagiaires, aux partenaires, etc.

Réciproquement chaque collègue veille à fournir avec précision au département tous les renseignements dont il a besoin, notamment pour communiquer avec les partenaires et rendre compte aux pouvoirs subsidiants : plannings, récupération, documents de réservation du matériel, etc.

Les séminaires collectifs sont évidemment ouverts au département administratif.

Engagements externes et fonctionnement interne

La dynamique associative se caractérise par le souci d'une correspondance suffisante entre les engagements pris à l'externe et le fonctionnement même de l'institution (principe de l'homologie relative).

Ce souci s'exprime à RTA dans trois dimensions au moins.

a) Un souci d'égalité

Il s'exprime d'abord dans une politique salariale appropriée (tension salariale faible ; mécanismes  qui privilégient les logiques collectives).

Une attention particulière est logiquement apportée au partage entre tous du capital culturel collectif ; ce partage implique à l'inverse que celui-ci soit respecté par chacun. 

b) La solidarité

Elle s'exprime d'abord entre collègues ; elle implique le souci d'assurer un équilibre entre les membres du personnel (par rapport à la pénibilité de certaines tâches, à la charge globale de travail  ou à propos de certains avantages, comme les dates de congés).

L'association est attentive à rechercher un équilibre entre ses apports et ses attentes. Elle prend en compte la nécessité pour ses travailleurs de composer avec différents temps et différentes réalités. Elle attend de ceux-ci qu'ils restent attentifs au fait que « trop d'avantages finit pas tuer tous les avantages ».

Nous savons que l'individualisme consumériste ou les pratiques de séduction et de manipulation sont possibles partout ; la solidarité en constitue  le meilleur antidote.

c) L'authenticité

Les travailleurs sont informés des orientations de l'association (par l'ensemble de ses publications notamment) et ils savent qu'ils sont invités à les soutenir. Elles ne constituent pas un « self-service » dans lequel chacun prend ce qui l'arrange.
L'association veille à fournir des occasions de travail collectif à leur propos (conseil pédagogique, séminaires internes par exemple) pour en favoriser l'appropriation et le développement.

Notes

  1. ^Nous nous référons ici implicitement aux quatre sources de la critique du capitalisme telles qu'elles ont été définies par L. Boltanski : il a pu être reproché au capitalisme de produire de la misère et de l'égoïsme social (une critique « sociale » y a opposé des luttes pour l'égalité et la solidarité), de produire de l'oppression et de manipuler les besoins (une critique « artiste » a opposé à cela des luttes menées au nom de la liberté et de l'authenticité).
  2. ^Cf. le dossier d'Intermag Droits culturels : Alain Touraine rencontre les acteurs du champ culturel en communauté française et les analyses « Pour une problématisation des droits du Sujet dans l'aide à la jeunesse » et « Pour une politique culturelle centrée sur les droits du Sujet ».
  3. ^Cf. la vidéo sur la mise en jeu du capital collectif dans le groupe « Terre » et l'analyse « La révolution que nous attendons ».
  4. ^Cf. l'analyse « Pierre Bourdieu et la critique sociale » et le dossier d'Intermag consacré aux Assises de l'égalité « Une sociéte de la compétence : vers plus ou moins d'égalité? ».
  5. ^Cf. le dossier d'Intermag « Autour du management des associations, dialogues avec Jean-Pierre Le Goff » et l'analyse « La charte associative : pourquoi et comment nous aimerions y croire ».
  6. ^Cf. les analyses « Polymorphisme, paradoxes et dilemmes : les difficultés de la fidélité institutionnelle » et le rapport vidéo du Délégué général aux droits de l'enfant.
  7. ^Cf. nos contibutions vidéo et écrites au plan « HP », sur le site de la DICS.
  8. ^Le film consacré aux SAIE est un bon exemple de ces orientations.
  9. ^Cf. l'analyse « L'institution comme passion de réalisation ».
  10. ^Cf. les conclusions du premier chantier namurois des assises de l'égalité publiées dans « Politique ».
  11. ^Cf. analyse « faire voir le pouvoir et l'abus de pouvoir en le retournant contre celui qui l'exerce »